Escorté par la fine fleur des musiciens soul américains en activité, Kelly Finnigan frappe un grand coup avec son dernier album « A Lover Was Born ». De la soul dans la plus pure tradition avec des grooves profonds qui ne se résignent pas à la nostalgie, mais qui sont au contraire le cœur brûlant de l’authenticité et de l’espoir. Il est fortement possible que cet album soit ce qu’il y a de mieux dans la soul actuelle ; un chef d’œuvre des temps modernes. À cette virtuosité s’ajoute ce petit supplément d’âme qui font des concerts de Kelly Finnigan & The Atonements un condensé d’émotions à partager. Pareillement, c’est bien en Alsace que The White Bats suit ce sillon et défend avec ferveur le son organique et analogique d’une soul moderne et inclassable. Vous voyez ce genre de frissons qui nous parcourent lorsque l’on porte à ses oreilles un casque audio de qualité et qu’on se prend un groove à vous soulever les organes ? C’est bien ce qu’il va se passer le 20 février dans votre Django. Rien de moins.
Kelly Finnigan, leader de Monophonics, nous lâche un nouvel album solo somptueux qui allie élégance et émotion à travers une soul moderne typique de l’iconique écurie Colemine Records. Sa voix puissante s’associe à la fine fleur des musiciens actuels oeuvrant notamment avec The Ironsides, Parlor Greens, Orgone ou les Dap Kings. « A Lover Was Born » offre une expérience musicale riche et authentique, à dénicher d’urgence chez les meilleurs disquaires avant de se délecter du live.
The White Bats allient une musique soul intemporelle à des accents psychédéliques, RnB et jazz. Un cocktail qui ne jurerait ni dans une playlist de soul moderne, ni dans la discothèque d’un fan de pop 60’s. Fervents défenseurs d’un son organique et analogique, leur shows sont une véritable lettre d’amour à la musique soul, authentique, celle qui se vit en live, sans artifices.