Avec son univers mêlant musique électronique et indie dance, any s’impose comme un projet singulier sur la scène électro émergente. Le duo développe une approche émotionnelle et percutante, où la fragilité humaine devient moteur d’énergie et de libération.

Porté par un enthousiasme adolescent, les membres se réunissent autour d’une nostalgie pour le groupe de rock lycéen qu’ils n’ont jamais pu créer. Inspirés par Fontaines D.C. et le spleen d’Oasis leur musique est le reflet d’une jeunesse entre euphorie et désillusion, entre un litre de café avalé d’un trait et les confidences ivres dans un jardin humide.

Moss Velveta est un projet musical électronique en expension, trouvant son équlibre entre la fragilité et la puissance, la force et la vulnérabilité, l’ombre et la lumière. Parmi ses sources d’inspiration il y a la densité émotionnelle de la musique classique, l’énergie physique des clubs ou encore les ambiances mentales du trip-hop. Moss se situe musicalement quelque part entre Gesaffelstein, Massive Attack, Justice, Lorn ou encore Radiohead.

NAEKO s’inscrit dans le mouvement anti pop. Un courant qui brise les frontières entre les genres musicaux et redonne leur place aux émotions qu’on redoute le plus. Il ne rejette pas la pop : il en transforme la surface pour en révéler la profondeur. NAEKO se distingue par une écriture brute, qui dit ce qu’on tait, qui laisse place à la vulnérabilité. Dans son univers, l’intime devient universel. Il transforme ses failles en passerelles vers les autres.

Empreinte de musiques traditionnelles, folk, blues et flamenco, de poésie spoken word, ainsi que d’une multitude d’influences éclectiques et expérimentales, la musique de Zoe Heselton est vivante et intime. Avec une guitare électrique incisive et sensible, elle oscille entre vulnérabilité et puissance, raconte les ténèbres et la réparation. Tantôt mélodieuses, tantôt dissonantes, ses chansons sont des litanies pour la survie, des poèmes de tendresse et de rage.