Concert

KÉPA + MOJO SAPIENS

Jeudi 14.04.22 - 20h30

Lieu : Espace Django, 4 Impasse Kiefer, Strasbourg, France

Avec son nouvel album « Divine Morphine » KEPA frappe un grand coup et c’est tout le monde du blues qui vacille. Ce one man band déjanté navigue entre balades blues et énergie rock, poussant guitare, dobro et harmonica dans leurs retranchements. A voir absolument ! On en redemande, alors on complète la soirée avec l’improbable trio Mojo Sapiens qui tresse le blues au funk et au hiphop. Un nouveau set tout frais pour cette soirée qui sera l’occasion de vérifier “if you got your Mojo Workin’” !

Es waren einmal drei Mojos und drei Künstler, die Musik und Kultur gemeinsam auf die Bühne brachten. Blues, Funk, Hip-Hop – die Verwandtschaft lässt sich nicht abstreiten. Wir haben uns vom Blues-Virus anstecken lassen und sind dem Mojo des baskischen Lucky Lukes, nämlich der Lonesome Blues-Band „Képa“, erlegen. Und wie sieht es mit Ihrem Mojo aus?

Horaires

Ouverture des portes : 20h

Début du concert : 20h30

Tarifs

Placement : libre debout

Préventes (hors frais éventuels de location)

12€ (tarif plein), 8€ (tarif réduit), 6€ (tarif spécial)

Caisse du soir (dans la limite des places disponibles)

15€ (tarif plein), 10€ (tarif réduit), 6€ (tarif spécial)

Partenaire Média

à venir

MOJO SAPIENS

(Blues/ElectroFunk/HipHop – Strasbourg)

“The blues is the roots, the rest is the fruits”, Willie Dixon.
C’est ce que les trois musiciens de Mojo Sapiens illustrent avec leur style à la croisée des âges.

Issus de diverses formations strasbourgeoises, Eli Finberg alias Mr.E (Art District, FreeZ), Cyprien Steck alias Leopard Da Vinci (The Fat Badgers) et Victor Sbrovazzo (Dirty Deep) dessinent les contours du projet en 2016, lors d’une carte blanche donnée par l’organisateur des fameuses “Semaines Du Blues” à Strasbourg.
Une synergie décuplée se met alors au service de la musique afro-américaine et l’honore durant un concert de 3 heures. Les artistes retracent la chronologie de son évolution : du gospel des années 20 au hip-hop des années 80, en passant par la soul et la funk des années 60/70. Reprises, jam, impros… électrisent une audience conquise. En 2019, le trio fait renaître le projet de ses cendres en enregistrant un titre en hommage à Muddy Waters, « My Mojo ». Ce morceau est la première pierre à l’édifice de l’EP des Mojo Sapiens « A Fistful Of Mojo » : une ode à la musique comme ressource inépuisable, un appel irrépressible du peau à peau, du brut et du moite. Mojo Sapiens est le vaisseau d’une musique riche qui s’affranchit des genres et des époques, qui s’imprègne de l’énergie dévorante et de la créativité sans limite de trois artistes hyper vitaminés.
Mojo Sapiens invoque les spectres incandescents des grandes figures du Delta et Chicago blues, de l’électro-funk, du rock‘n’roll, de la soul et du hip-hop, les habite, les transcende, et nous livre un premier opus tel un cocktail unique et explosif qui rappellera “Electric Mud” de Muddy Waters, Blackroc des Black Keys, G-Funk, ou encore “Subterranean Homesick Blues” de Bob Dylan.
L’abus de cette musique est bon pour votre Mojo*.
* Mojo : « Sex appeal », à l’origine lié à l’idée de pouvoir surnaturel, désigne aujourd’hui les qualités charismatiques d’une personne au pouvoir d’attraction développé.

KÉPA

(Blues – France)

Entre blues rural et rock’n’roll minimaliste, entre Robert Johnson et Bog Log III, le one man band de KEPA propulse l’auditoire sur les bords du Mississippi sans que l’on ait bougé. 28 ans, trois ans de blues, des centaines de concerts et déjà deux Olympia !

Pourtant, rien ne prédestinait ce skateur professionnel à monter sur scène : “mon rêve était de skater aux quatre coins du monde”, mais c’est après une méchante blessure qu’il se met à gratter sur une guitare. Il compose ses premiers morceaux. Peu à peu, il crée son genre : le power blues qu’il joue sur des guitares acoustiques en acier, un modèle fabriqué dans les années 1930 aux Etats-Unis. Kepa va vite, très vite, et il sait s’entourer ! Son dernier album est sorti sur Haïku Records, il a été enregistré à Montréal avec Taylor Kirk et l’équipe de Timber Timbre à la production et à la réalisation.

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